Clôture de l’album sur une note de lenteur, d’évanouissement, presque de néant.
Des textures ambient étirées à l’extrême, une mélodie fragmentée, une structure très minimaliste. Il n’y a presque plus de rythme — juste des sons, des échos, des résonances.
Un adieu discret, sans mot, sans certitude. Senior se termine comme un film contemplatif qui laisse le spectateur seul face à ses pensées.